Un Consultant pour étude d’évaluation finale - Borda Mali
Description
TERMES DE REFERENCE
ETUDE EVALUATION FINALE 2019-2023
Réalisation d’une étude d’évaluation finale du programme « Renforcer la résilience et contribuer à la sécurité alimentaire » dans les régions de Tombouctou et Mopti.
PRESENTATION de BORDA Mali
Bremen Overseas Research and Development Association ou « l’Association Brêmoise de Recherche d’Outre-mer et de Développement » (BORDA e.V.) est une ONG allemande internationale fondée en 1977 par des planificateurs urbains, des ingénieurs, des entrepreneurs et scientifiques sociaux réunis en une organisation experte de la société civile. BORDA intervient principalement dans les secteurs de l’eau, l’assainissement, les énergies renouvelables, l’agriculture, et l’environnement. Elle opère dans 22 pays en Asie du Sud et du Sud-Est, Asie de l’Ouest, Asie centrale, en Amérique Latine, et en Afrique.
En 2017, BORDA a ouvert a` Bamako, un bureau pour l’Afrique de l’Ouest pour intervenir activement dans le domaine de la sécurité alimentaire et l’assainissement au Mali à travers des projets financés par la BMZ.
Notre objectif est de créer un monde où tous les gens sont capables de faire de leurs communautés des lieux de vie confortables. Des lieux où ils peuvent développer leur plein potentiel et façonner activement leur environnement – quels que soient leurs revenus, leur sexe, leur origine, leur lieu de résidence, leur culture et leur religion.
Dans le cadre des projets de sécurité alimentaire au Mali, BORDA à travers ses partenaires locale (RLD, ADAZ et HDS) met en synergie un ensemble d’activité agricole, environnementale, économique et sociale visant à renforcer la résilience des communautés locale et développer l’économie locale.
I- CONTEXTE ET JUSTIFICATION DE L’ETUDE
La réalisation de cette évaluation a été inscrite comme une activité à part entière dans le document du programme. Elle doit permettre de jeter un regard rétrospectif sur les principales réalisations, apprécier les résultats et effets du programme afin de tirer les enseignements nécessaires. Ce regard rétrospectif doit permettre aux partenaires techniques et financiers du programme d’apprécier qualitativement et quantitativement, les progrès réalisés en termes de résultats atteint. Le choix d’une évaluation externe a été privilégié afin de contribuer à assurer l’indépendance, l’impartialité et la crédibilité du processus.
La présente étude est commanditée par Borda-Mali en collaboration avec ses ONG nationale partenaires de mise en œuvre du programme « résilience et sécurité alimentaire ».
II- Objectif général de l’évaluation:
Le but de cette évaluation est faire une analyse des résultats/effets du projet selon les 05 critères du développement durable.
Elle vise spécifiquement à fournir :
Une appréciation générale de la qualité du travail accompli et des résultats obtenus par rapport aux objectifs et indicateurs objectivement vérifiables mentionnés dans le document de projet.
Une appréciation sur la participation des bénéficiaires aux interventions et à l’atteinte des objectifs.
Une appréciation de la qualité de la participation des bénéficiaires aux différentes étapes du projet, l’appropriation par les bénéficiaires des différentes réalisations du projet.
Déterminer si les autorités locales sont renforcées en termes de compétences, de connaissances.
Mettre en relief les forces et faiblesses de l’action et soulignera les principaux enseignements que l’on peut en tirer.
Formuler des recommandations concrètes pour mieux s’inscrire dans les objectifs du programme avant les évaluations.
III- Champ d'application :
L'évaluation finale couvrira toute la période de mise en œuvre jusqu'au moment de l'évaluation, c'est-à-dire du 1er juillet 2019 à décembre 2023. L'évaluation analysera l'ensemble du projet et son cadre de résultats, qui comprend tous les éléments du cadre logique.
A ce titre, le consultant appliquera une approche participative pour s'assurer que l'équipe du projet sera étroitement impliquée dans l'ensemble de l'évaluation, de sorte que les réalisations ainsi que les défis seront discutées ouvertement et sérieusement, ce qui permettra d'obtenir une évaluation commune.
IV- Zone de l’étude d’évaluation :
L’évaluation se fera dans les zones d’intervention du programme à savoir :
Zone de Tombouctou : les communes de Séréré, Hamzakoma, Bourem-Inaly, Lafia (Aglal), Alafia (Toya), Haribomo, Garbakoïra, Dangha, et le quartier de Kabara (Tombouctou).
Zone de Bandiagara : les communes de Wadouba, Ondougou, Muetoumo, Pelou, Bandiagara, Doucombo, Soroly, Kendé, Kendié, Dourou, Dandoli, Sangha, Dogani Bèrè, Barasara
Les structures de mise à œuvre : La mise en œuvre de ce projet est assurée par des ONG nationale partenaires de BORDA qui sont : ADAZ pour la zone de Tombouctou ; HDS pour la zone de Bandiagara et RLD intervient sur les 02 zones. L’étude est commanditée par BORDA-Mali qui assure la gestion et la coordination du cycle de projet.
V- Résultats attendus
La Pertinence : l'évaluation de la pertinence du programme s'appliquera en particulier à montrer dans quelle mesure ses objectifs et priorités s'accordent avec les besoins des bénéficiaires visés, si les objectifs du projet sont restés valables et pertinents jusqu’à présent. L’évaluation s'attachera à montrer si le projet a apporté une réponse significative à la préoccupation exprimée par les producteurs et leurs organisations.
L’Efficacité : l’évaluation appréciera à ce niveau l’atteinte des objectifs prévus du projet, le niveau de résolution des problèmes identifiés à travers notamment les résultats obtenus, et enfin le niveau d’autonomisation technique des bénéficiaires du projet.
L’Efficience : l’évaluation appréciera les coûts et les plans d'exécution prévus en rapport avec les résultats obtenus, les principaux facteurs d’économie et de dépassement des coûts et délais. Elle s’intéressera aussi à toutes les actions entreprises visant à faire des économies d’échelles.
L’Effet/Impact : l’évaluation appréciera le niveau de satisfaction des services et produits (bénéfices du projet) de façon globale sur les bénéficiaires. S’il y a eu des retombées inattendues qui ont affectées l’impact global,
La durabilité : l’évaluation appréciera le degré d’autonomisation technique des bénéficiaires, le degré d’appropriation du projet à travers la mise en place des structures pour la continuité des activités et leur niveau de fonctionnement, le degré d’implication des services techniques, des collectivités et ONG chargés d’appui-conseil, l’adaptabilité des différentes technologies vulgarisées, les bénéfices directs et indirects après le projet.
En plus de ces 5 normes de qualité pour l’évaluation du développement, le tableau des indicateurs sera renseigné au vu des résultats obtenus avec des commentaires et recommandations (tableau des indicateurs en annexes).
VI- Produits et livrables :
Il sera demandé à l’évaluateur de fournir :
Un rapport de démarrage faisant ressortir les premières investigations sur la base des documents exploités et finissant un planning détaillé avec des outils précis prévus pour chaque étape sur le terrain. Après validation de ce rapport par BORDA, les phases terrain (Zones de Tombouctou et Bandiagara) pourront démarrer.
Un rapport provisoire en français faisant ressortir les résultats de l’évaluation. (En version électronique sous format Word).
Un rapport final intégrant les remarques faites sur la version provisoire. Produit en Deux exemplaires signé et cacheté par le prestataire et une version électronique.
VII- Période de l’évaluation :
Mai à juillet 2023
VIII- Méthodologie de sélection
Etape 1 : Elaboration des termes de références
Etape 2 : Choix du consultants et contractualisation
Etape 3 : Rencontre de cadrage pour valider la méthodologie et des outils
Etape 4 : Lancement de l’évaluation
Etape 5 : Phase terrain
Etape 6 : Analyse et production des rapports
Etape 7 : Atelier de restitution du rapport provisoire
Etape 8 : Validation du rapport final
IX- Profil du consultant :
Les candidats doivent être un bureau reconnu au Mali (avoir le NIF et le RCCM). Avoir une expérience avérée d’au moins 5 années dans les études et/ou évaluation de projets/programmes de résilience et développement local. Le bureau doit avoir de solides expériences dans la conduite des études à la fois quantitatives et qualitatives (conception des outils et méthodes rigoureux, collecte, traitement et analyse des données, etc.). L’équipe proposée doit être pluridisciplinaire de manière à couvrir l’ensemble des aptitudes nécessaires pour cette mission. Le consultant principal doit avoir au moins un diplôme d’étude supérieur (Bac+5) dans l’un des domaines suivants : agronomies, agroéconomie, sociologue, gestion de projet/ programme, Suivi-évaluation des projets/programme, géographie, etc.
Les experts doivent avoir une expérience avérée dans l’évaluation des projets de résilience des communautés et de développement durable. Les bureaux intéressés sont invités à soumettre une proposition technique et financière à Borda Mali.
Une proposition technique doit contenir une brève présentation du bureau, -l’expérience dans le domaine avec les preuves des expériences passées, - une approche méthodologie détaillé claire et précis, - un chronogramme de travail précisant la durée totale de la prestation, - les livrables, - le CV de l’équipe proposée ainsi que les documents administratifs prouvant la reconnaissance juridique du bureau.
Une proposition financière comprenant l’ensemble des charges de l’évaluation, les déplacements entre le lieu de résidence et les zones d’évaluation, l’hébergement, la production de rapport, les per diem, les honoraires, etc.
Nous tenons à préciser que le choix de la méthodologie est laissé au choix du prestataire mais devra être participative avec l’implication de l’ensemble des acteurs.
X- Critères de sélection :
La sélection s'effectuera sur la base des critères suivants : - exposé de la problématique et compréhension du sujet ; - démarche méthodologique proposée ; - l’expérience du bureau ou consultant ; Profil et expériences des experts ; - Connaissance de la zone d’étude à travers des prestations similaire - détail des prix et coûts des différentes prestations ; Durée de la prestation et les livrables.
XI- Condition de paiement :
Les paiements se feront conformément aux procédures administrative et financière de BORDA – Mali. Un premier paiement de 40% après la validation du rapport de démarrage, un second paiement de 60% à la validation du rapport final.
XII- Dépôt des dossiers :
Les prestataires intéressés sont invités à envoyer leurs propositions techniques et financières signées au siège de BORDA-Mali à Magnambougou Faso-Kanu ou par émail à adresse suivant : deskmali@borda.org Pour tout autres informations appeler au 20 20 23 15
La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 05 Mai 2023 à 16h00mn.
Bamako le 11/04/2023
BREVE PRESENTATION DE PROGRAMME
« Résilience et sécurité alimentaire à Tombouctou et Bandiagara »
I- Contexte : La crise sécuritaire, les conflits violents et la propagation d'une économie violente ainsi que l'insécurité alimentaire et les crises provoquées par des phénomènes météorologiques extrêmes résultant du changement climatique s’accentuent. En conséquence, la faim, le chômage, la pauvreté et la rareté des ressources naturelles continuent d'alimenter les conflits violents, et l'État et ses organes de sécurité n'existent pas dans certaines zones rurales. La détérioration de la situation sécuritaire dans les zones rurales depuis 2015 se poursuit. Les attaques contre la population civile ont augmenté localement et le nombre de personnes déplacées a doublé depuis en 2018. L'État malien n'a pas encore réussi à rétablir la sécurité publique en dehors des grandes villes toutefois l'armée malienne continue d’assurer la sécurité des populations avec l'appui des forces armées étrangères de la MINUSMA, de l'ONU et de milices locales partiellement tolérées. La situation dans les régions de Tombouctou, et Mopti reste tendue, les attaques contre les voyageurs, comme le pillage et le vol d'argent, de marchandises, de bétail et de véhicules, continuent d'être monnaie courante. La sécurité publique est prise en charge localement par des milices, qui elles-mêmes constituent également une menace pour les civils. En outre, les conditions climatiques (faibles pluviométrie, inondations précoces, mauvaises répartitions des pluies) constituent également un défi dans les zones d’intervention du projet. Ici, des pluies précoces et abondantes ont provoqué des inondations rapides et importantes, entraînant des mauvaises récoltes locales et des pertes dans l'horticulture et la production d'aliments pour animaux. Les groupes cibles ont été soutenus par des mesures d'adaptation. L'adaptation aux conditions climatiques changeantes est un défi du mandat du projet. Les projets contribuent au renforcement des capacités locales des communautés dans les domaines de la sécurité alimentaire et leurs moyens d’existence ainsi que le renforcement des capacités de résilience des populations à travers une approche multisectorielle, comprenant un panel d’actions d’appui et d’assistance à la production agricole.
II- Objectif global : but du programme est de renforcer la résilience et contribuer à la sécurité alimentaire des populations et des coopératives locales dans le nord du Mali (Tombouctou et Bandiagara)
III- Composantes du programme : le programme comprend 04 composantes :
Composante 1: Sécurité alimentaire et service de base
Composante 2: (Ré)aménagement des infrastructures de production et de restauration de sols
Composante 3: Education et formation des communautés et des producteurs touchés (renforcement des capacités)
Composante 4: Développement de la société civile et des structures sociales des collectivités
IV- Cadre logique
V- Zone d’intervention du programme : Région de Tombouctou et Mopti
VI- Groupe cible : les femmes, les hommes, les personnes vivant avec handicap des ménages vulnérables, des ménages d’accueil, déplacées, retournées des cercles de Tombouctou, Gourma-Rharous, Diré et de Bandiagara
VII- Effets recherchés :
Les revenus et la sécurité alimentaire ainsi que l'approvisionnement en eau des réfugiés de retour, des personnes déplacées et des groupes défavorisés sont assurés et leur main-d'œuvre est maintenue.
Les coopératives locales sécurisent leur base de vie avec des rendements de la production agricole (riz, céréales, horticulture, cultures fourragères).
Les coopératives maîtrisent les techniques apprises (culture, transformation des produits). L'information et les connaissances sur la gestion et l'organisation des coopératives sont appliquées.
Les organisations coopératives d'agriculteurs fournissent les conseils et le soutien nécessaires, notamment en ce qui concerne l'entretien et la réparation des pompes et des systèmes. Les différends sur l'utilisation des terres ont été réduits
VIII- Produits/Résultat attendus :
Les personnes déplacées de retour, les personnes déplacées à l'intérieur du pays et les personnes dans le besoin ont accès à des infrastructures d'approvisionnement de base (eau) restaurées.
Les zones de production agricole (ré)établies sont cultivées avec de bons rendements (riz, céréales, horticulture, culture fourragère).
Les coopératives (culture, élevage) sont formées aux techniques et méthodes de gestion pertinente. Ils disposent d'informations sur la manière d'adapter leurs pratiques agricoles aux sécheresses et aux inondations.
Les coopératives agricoles (CCR) assument des tâches de conseil et de coordination et renforcent les activités des coopératives affiliées. Dans 6 municipalités et 20 localités, les commissions des sols de la société civile et des municipalités sont à nouveau fonctionnelles
IX- Indicateurs d’effet du projet :
Logique d‘intervention et Indicateurs
Au moins 80% des 450 ménages déplacées et défavorisées ont connu une amélioration de leur revenu de 5 % à la fin du projet
6 villages/fractions disposent de sources d'approvisionnement en eau potable de qualité et en bon état.
5 villages/fractions et 03 sites de déplacées disposent de sources d'approvisionnement en eau potable de qualité et en bon état.
Au moins 80% des ménages vulnérables bénéficient d'une assistance alimentaire de 02 mois pendant la période se soudure.
01 banque de céréales est construits, opérationnels et gérés par les organisations paysannes pendant et après le projet.
01 magasin de semences sont construits, opérationnels et gérés par les organisations paysannes pendant et après le projet.
60% des 450 ménages dont 30% Hommes, 20% Femmes, 10% jeunes (filles et garçons) améliorent leurs revenus de 60% grâce à une irrigation économique d'ici la fin du projet.
Au moins 70% des 400 ménages améliorent leurs revenus à travers la culture des fourrages et l'élevage dont 20% des hommes, 20% des femmes, 15% des jeunes garçons et 15% des jeunes filles à 60 % d'ici la fin du projet.
60% des 200 ménages dont 75% de femmes et 25% de Jeunes femmes améliorent leurs revenus de 50 % grâce à l'horticulture économique dans les coopératives de femmes d'ici la fin du projet.
60% des 200 ménages dont 75% de femmes et 25% de Jeunes femmes améliorent leurs revenus de 50 % grâce à l'horticulture économique dans les coopératives de femmes d'ici la fin du projet.
80% des 60 OCB de Tombouctou soutenues fonctionnent de manière rentable (soit proportion de femmes 50%, jeunes M.> 25%)
80% des 21 OCB de Bandiagara soutenues fonctionnent de manière rentable (proportion de femmes 50%, jeunes M.> 25%)
80% des membres de 20 coopératives de producteurs de Tombouctou sont satisfaits des services rendus par les Organisations de la société civile, d’ici la fin du projet
80% des membres de 10 coopératives de producteurs de Bandiagara sont satisfaits des services rendus par les Organisations de la société civile, d’ici la fin du projet
20 coopératives de producteurs de Tombouctou sont unies et travaillent à la satisfaction des membres (Proportion de coopératives de femmes 20%)
10 coopératives de producteurs de Bandiagara sont unies et travaillent à la satisfaction des membres. (Proportion de coopératives de femmes 20%)
16 organes municipaux de règlements (COFO) participent à la prévention et à la gestion des conflits
16 organes municipaux de règlements (COFO) participent à la prévention et à la gestion des conflits, (ADAZ: 03 cofos pour 01 municipalités à Tombouctou participent à la prévention et à la gestion des conflits )
Les conflits sont réduits de 50% grâce à l'implication des COFO dans les zones d'intervention
Le Nombre d’homologation par le juge des conflits réglés par le COFO a augmenté de 50% d'ici la fin du projet
250 ménages dont 30% de femmes, 30% Hommes, 20% de garçons et 20% de filles ont accès à de l'eau potable.
400 ménages dont 30% de femmes, 30% Hommes, 20% de garçons et 20% de filles ont accès à de l'eau potable.
200 ménages déplacés/retournés dont 40% des femmes, 30% des hommes, 15% des filles et 15% des garçons ont accès à l'eau potable pendant et après le projet
200 ménages déplacés/retournés dont 40% des femmes, 30% des hommes, 15% des filles et 15% des garçons ont accès à l'eau potable pendant et après le projet
400 ménages déplacés/retournés dont 40% des femmes, 30% des hommes, 15% des filles et 15% des garçons ont accès à l'eau potable pendant et après le projet
Le bétail de 200 ménages rapatriés et de personnes déplacées (dont 50% des hommes, 30%des femmes, 10% de garçons et de filles et 10% des handicapés) a accès à des points d'eau créés.
Le bétail de 200 ménages rapatriés et de personnes déplacées (dont 50% des hommes, 30%des femmes, 10% de garçons et de filles et 10% des handicapés) a accès à des points d'eau créés.
Sur 20 PIV (environ 400 ha) avec 20 coopératives dans 18 villages, au moins des rendements de 4 t / ha sont atteints
10 PPM (dont 7 nouveaux ; 3 réhabilités ; 10 ha total) de terres horticoles produiront au moins 4t/ha pendant les trois dernières années du projet
La production de la biomasse passe de 3 t à 5 t par ha pendant les 3 dernières années de projet
Sur 9 PPM aménagées / réhabilitées (1 ha chacune), au moins 50 % des rendements sont atteints.
Sur 3 PPM aménagées / réhabilitées (1 ha chacune), au moins 50 % des rendements sont atteints.
Sur 3 petits barrages créés/réhabilités, 7 ha de PPM sont cultivés et produisent 50 % de rendement
Sur 580 participants (dont 200 femmes), 80% utilisent les techniques apprises d'ici la fin du projet
80% des 20 Coopératives ont augmenté leurs rendements en aliment bétail d’ici la fin du projet
Dans 5 projets AGR, 80% des femmes bénéficiaires de 265 ménages ont augmenté leurs revenus à 60 %d'ici la fin du projet
80% des 580 participants (dont 200 femmes) utilisent les techniques apprises d'ici la fin du projet
Dans 4 projets RGE, 90% des 40 femmes bénéficiaires ont augmenté leurs revenus de 60 % d’ici la fin du projet
20 coopératives se sont organisées en union de coopérative d'ici la fin du projet
La réparation et la maintenance des pompes des 20 coopératives sont assurées d'ici la fin du projet
12 COFO de 3 municipalités de Tombouctou sont créées d'ici la fin de la 2ème année du projet et sont fonctionnelles.
10 coopératives sont organisées en union de coopérative d'ici la fin de la 2ème année du projet et gèrent efficacement les tâches de l'organisation
8 COFO de 3 municipalités de Bandiagara sont créées d'ici la fin de la 2ème année du projet, et sont fonctionnelles
60% bénéficiaires changent leurs comportement grâce aux actions de sensibilisation sur les mesures barrières de COVID-19 pendant et après la pandémie
60% bénéficiaires changent leurs comportement grâce aux actions de sensibilisation sur les mesures barrières de COVID-19 pendant et après la pandémie
X- Cadre des résultats/activités
Afin de postuler veuillez envoyer votre dossier à l'e-mail suivant : deskmali@borda.org
- Secteur : Projet et Organisation International
- Adresse : Bamako